Avant que 2019 ne s’achève, le dernier mois de l’année réserve encore des échéances pour le pouvoir d’achat des Français.
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Avant que 2019 ne s’achève, le dernier mois de l’année réserve encore des échéances pour le pouvoir d’achat des Français.
Le premier ministre Jean-Marc Ayrault a déclaré qu’environ 15% des français les plus aisés verront leurs allocations familiales baissées.
Le gouvernement est en train de constituer le budget de l’année 2019. Le ministre de l’Économie et des Finances et celui des Comptes Publics, Bruno Lemaire et Gérald Darmanin, revoient à la hausse le taux du déficit public en 2019, alors que les prévisions étaient encourageantes quelques mois auparavant.
Selon les statistiques de l’INSEE, la dette de la France s’élève à 1 833,8 milliards d’euros en 2012 et, le déficit publique sur cette même année représente 4,8% du PIB.
L’inflation en France connaît une nette progression sur un an. Cela se traduit par une demande soutenue. Mais les ménages se retrouvent face à une augmentation des prix qui remet en cause la vitalité de leur pouvoir d’achat. Retour sur les effets de cette inflation sur différents facteurs.
La déflation est un phénomène de baisse générale des prix constatée sur une longue période (plusieurs trimestres).
Les trois quarts des séniors confient s’inquiéter vis-à-vis de leur passage à la retraite et en particulier par rapport à la baisse des revenus.
Selon le CCFA (Comité des Constructeurs Français d’Automobiles), le nombre de voitures neuves vendues en France a baissé d’environ 12,1% au mois de février 2013.
Les nouvelles mesures de l'accord Agirc-Arrco sur les retraites complémentaires ainsi que le gel partiel des pensions des retraités vont permettre de réaliser des économies importantes à partir de 2020.
L’INSEE vient d’annoncer que la consommation des ménages Français a reculé de 0,8% en ce mois de janvier 2013.
Selon le résultat de l’institut économique Molinari, la France aura dépensé ses 390 milliards d’euros de recettes fiscales de l’année 2015 le dimanche 8 novembre 2015 et devra forcément emprunter. L’hexagone va donc devoir vivre à crédit.
Le déficit commercial de la France est passé de 74 milliards d’euros en 2011 à 67,2 milliards d’euros en 2012 soit un ralentissement de 6,8 milliards en 2012.
Selon le résultat d’une récente étude, plus de 50 % des Français épargnent moins de 50 euros par mois. Cette étude confirme également que seul un ménage sur deux à la capacité de mettre de l’argent de côté.
Sur la totalité de l’année 2012, la consommation des ménages Français a baissé de 0,2%.
Les ventes de logements neufs s’accélèrent au cours du troisième trimestre selon la Fédération des Promoteurs Immobiliers, un signe rassurant qui montre un retour des investisseurs.
Selon le ministère de l’économie, le déficit budgétaire a atteint 87,2 milliards d’euros en 2012. Soit, 1 milliards de plus que prévoyait le gouvernement en novembre de cette même année.
Mauvaise surprise pour le gouvernement avec les récents chiffres de croissance publiés par l’INSEE. Le PIB de la France a stagné au deuxième trimestre 2015.
Selon les experts de l’immobilier, il ne devrait pas avoir de baisse massive des prix de l’immobilier en cette année 2013.
Depuis lundi 9 mars 2015, la banque centrale Européenne (BCE) a lancé son programme de rachat de dettes publiques et privées pour créer un choc de confiance dans la zone Euro et pour repousser la menace déflationniste. Retour sur quelques détails de ce programme.
Pour ce début d’année 2013 nous allons dresser un petit bilan sur la situation économique de la France.
Afin de rééquilibrer les régimes de retraites complémentaires (AGIRC, ARRCO), le patronat a lancé toute une série de propositions chocs. Voici les principales.
Le premier Ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé une croissance de 0,8% pour l’année 2013 en France.
Même si pour l’heure la France n’est pas en déflation, le ralentissement de l’inflation renforce l’hypothèse d’un risque de basculement dans la déflation. Alors quelles seraient les conséquences de cette tendance sur le remboursement des crédits ?
Selon le COR (Conseil d’Orientation des Retraites), si rien ne change le déficit des régimes de retraite pourrait avoisiner les 18,8 milliards d’euros d’ici 2017.
Pour la première fois depuis 2013, le nombre de chômeurs n’ayant pas du tout travaillé dans le mois a baissé de 11 100 en août. La France compte désormais 3,413 millions de demandeurs d’emploi.
Les pensions versées aux retraités ne devraient pas augmenter aussi vite que l’inflation ; ce qui aura pour conséquence de diminuer leur pouvoir d’achat.
La banque centrale Européenne a abaissé encore le niveau de son principal taux directeur à 0,05 %, soit le plus bas niveau de son histoire. Quelles sont les conséquences de cette décision ?
Avec la crise économique qui ne cesse de s’amplifier, les français voient leur pouvoir d’achat baisser de jour en jour. Selon une enquête de « l’entreprise dans la vie », plus de deux tiers des français ne font pas confiance aux pouvoirs publics pour améliorer leur vie quotidienne.
Selon les données de l’INSEE, l’indice des prix à la consommation a progressé de 0,5 % et de 0,4 % hors tabac en juillet. Le taux d’inflation annuel reste le même qu’en juin.
Le Credoc vient d’annoncer une baisse du pouvoir d’achat de -1,2% pour 2012 et 2013.
Les prix à la consommation (hors tabac) se sont stabilisés en juin, mais la hausse sur un an s’inscrit à 0,5 %, tandis que la production a reculé de 1,7 % selon l’INSEE.
La crise a véritablement transformé la façon le marché du crédit, si bien qu’aujourd’hui on parle de moins en moins de surendettement chez les ménages mais plutôt de malendettement.
Selon la dernière note de conjoncture de l’institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la croissance de la France sera limitée à 0,7 % en 2014. Insuffisant pour créer de l’emploi.
Le rachat d’or se répand de plus en plus en France. La raison ? Une sortie de crise qui se fait attendre et un besoin des Français à trouver rapidement des liquidités pour faire face aux soucis du quotidien.
L’agence de notation Américaine Standard & Poor (S&P) a décidé de maintenir la note de la France actuellement à AA et estime que la conjoncture du pays est stable.
Le gouvernement a annoncé plusieurs mesures pour enrayer la dette publique dont la hausse des taxes sur les plus-values immobilières. Voyons ensemble quel pourrait-être l’impact de cette mesure.
L’engagement des autorités Françaises auprès de Bruxelles de ramener le déficit public sous les 3 % du PIB d’ici 2015 semble compromis, en fait le pays a enregistré un déficit public de 4,3 % du PIB en 2013, soit 0,2 points de plus que l’objectif de 4,1 %.
Depuis l’arrêt de la prime à la casse en début d’année 2011, les ventes d’auto neuves sont en légère baisse. Ceci dit, le bilan du mois d’août s’annonce plus positif, avec une reprise des ventes mais à demi-teinte.
Selon les données publiées par Eurostat, l’inflation en zone euro a reculé en février à 0,7 % sur un an, retrouvant ainsi son plus bas niveau depuis novembre 2013. Quels seraient les impacts de cette hausse de prix en France ?
L’utilisation du chèque en France a connu une baisse de 28% entre 1998 et 2008 cependant, Christine Lagarde vient d’annoncer qu’elle ne compte pas supprimer ce moyen de paiement très répandu en France.
Dans la loi de finances pour 2014, les conseils généraux qui le souhaitent pourraient faire passer de 3,8 à 4,5 % pendant 2 ans les droits de mutation lors d’une transaction immobilière. Voici les détails de cette nouvelle mesure qui entre en vigueur à partir du 1er mars.
On constate d’ores et déjà une augmentation de prix de certains produits de consommation courante.
La prime de noël a été instaurée depuis sa création en 1998 et a été depuis renouvelée chaque année avec un certain nombre d’évolutions en fonction des différents allocataires. Par exemple, les bénéficiaires du RSA ont été aussi inclus aux personnes éligibles à cette dernière.
Alors que la population Parisienne s’élevait à 2,906 millions en 1921, elle représente, en 2011, 2,223 millions de personnes.
Selon l’INSEE, la croissance Française a atteint 0,5% au deuxième trimestre 2013, un reprise encore fragile.
La loi Lagarde (loi lcc) qui réforme le crédit à la consommation entrera en vigueur à parti du 1er mai 2011. Un nouveau décret concernant le FICP (Fichage des incidents de remboursement des crédits aux particuliers) vient de paraître.
Pour l’OCDE, le taux de chômage en France va continuer à augmenter jusqu’à la fin 2014, l’organisation internationale préconise à la France de réaliser des reformes structurelles.
Un récent rapport, réalisé par l’observatoire du crédit et portant sur l’endettement des ménages, indique que les Français maitrisent parfaitement la gestion de leur budget.
Après deux ans de hausse continue, le nombre de demandeurs d’emploi s’est stabilisé en mai avec seulement 100 nouveaux inscrits en France métropolitaine.
Une nouvelle convention, baptisée Aeras 2011, vise à améliorer l’octroi de crédits et assurances de crédits aux personnes malades.
Afin de réaliser des économies pour minimiser le déficit, le gouvernement opte pour de nouvelles mesures visant à réduire les aides aux entreprises.
Christine Lagarde a déclaré récemment que la croissance Française sera nettement supérieure aux prévisions de 2011.
Malgré la hausse des impôts, le gouvernement a annoncé un déficit des recettes publiques en raison de plusieurs dépenses exceptionnelles et à la faiblesse des rentrées fiscales.
La convention AERAS (S'Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) a pour objet de proposer un grand nombre de solutions pour élargir l'accès à l'assurance et à l'emprunt des personnes ayant ou ayant eu un problème grave de santé.
La commission Européenne a décidé de mettre en place des taxes progressives sur les importations dans l’union de panneaux solaires fabriqués en Chine.
Sur les 1000 projets d’investissements du plan de relance, 100 projets ont débuté, a assuré Patrick Devedjian, ministre chargé du projet de relance. « Nous sommes passés de la phase de préparation à la phase d’exécution », a-t-il indiqué.
Le gouvernement travaille actuellement sur un projet de loi ayant pour objectif principal de relancer la consommation Française.